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Pourquoi sommes-nous freelance ?

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des freelances en mode digital nomad

Etre freelance, ce n’est pas seulement un statut social. C’est un choix de mode de vie à part entière qui impacte tout son quotidien, et même son entourage. Mais après tout, pourquoi choisit-on d’être freelance ?

Je suis freelance… car je n’arrive pas à me décider

“Designer ou photographe. Développeur web ou concepteur-rédacteur. J’ai fait une école de design avant de m’inscrire à un master pro en communication. Depuis, je balance… Les différents stages que j’ai fait dans des boîtes n’ont pas vraiment réussi à me décider. Je me sens designer dans l’âme car la créativité et l’imagination sont les qualités qui me définissent le mieux. Oui mais : impossible de renoncer à l’aspect web et technique du métier développeur web, que j’aime tant. C’est pour cela que j’ai choisi de me lancer en freelance, afin de pouvoir exercer les deux métiers de mes rêves ! Je suis photographe à mi-temps… et développeur web l’autre moitié du temps. L’alliance parfaite des deux aspects de ma personnalité”.

Je suis freelance… car je déteste avoir un patron

“J’ai toujours eu un sérieux problème avec la hiérarchie. Vous savez, cette fille que l’on décrit comme “turbulente” à l’école primaire, “dissipée” au collège puis carrément “insolente” au lycée. Mes professeurs me prédisaient à l’époque que l’entrée dans le monde du travail me remettrait dans les rangs. Devinez quoi ? Ça n’a pas été le cas. Je supporte toujours aussi mal qu’on me donne des ordres et qu’on m’impose des activités. La solution toute trouvée pour moi, c’était de me lancer en indépendant. Nul besoin d’accomplir des tâches que je juge inutiles ou de dire des propos avec lesquels je ne suis pas d’accord. Je n’ai pas de supérieur hiérarchique, mais des collaborateurs et des clients, et ça change tout !”

Je suis freelance… car rester assis à un bureau, ce n’est pas pour moi

“Avoir la bougeotte, c’est un terme inventé pour moi ! Je ne tiens pas en place et je suis toujours à la recherche de nouvelles activités et de découvertes passionnantes. Le souci, c’est que j’aime aussi beaucoup la technologie. Je me suis tout naturellement tourné vers un  métier de développeur web, mais je ne me voyais pas passer des heures à mon bureau. Et difficile d’expliquer à son patron ses envies d’évasion tous les deux-trois jours… En étant freelance, je peux organiser mon emploi du temps comme je veux. Mettre en place une application web, une séance de running, faire des photos, une virée en ville : je suis libre d’agencer ma vie pleine d’action et de mouvement. Mon rêve ? Devenir digital nomad et parcourir le monde tout en vivant de mes photos. Pourquoi pas même créer mon blog de voyage”.

Je suis freelance… car j’adore la poterie / le vélo / les échecs

“Ça a commencé il y a quelques années. J’ai accompagné un ami à son cours de poterie, juste pour voir, et j’ai tout de suite accroché. La sensation de la terre glaise sous mes mains, la concentration et la dextérité nécessaire à cette activité : tout me plaisait. Le loisir est vite devenu un hobby, le hobby une passion et la passion une partie intégrale de ma vie. Mes horaires de travail ont commencé à en pâtir car je voulais consacrer le plus de temps possible à la poterie. C’est alors que j’ai pris la meilleure décision de ma vie : me lancer en freelance pour adapter mes horaires à ma passion. Désormais, je me lève tôt le matin pour profiter de la lumière naturelle du jour et travailler au calme dans mon atelier. En début d’après-midi, j’abandonne mon tour de potier et je me mets devant mon ordinateur et mon téléphone pour exercer mon métier webmaster. La journée parfaite selon moi !”

Je suis freelance… car je veux inventer mon métier

“Pourquoi devrait-on à tout prix entrer dans une case ? Programmeur, consultant, copywriter… J’ai longtemps cherché ma voie sans la trouver dans les lignes toutes tracées que l’on m’imposait. Parallèlement, j’avais vraiment envie de laisser mon empreinte au sein de notre société, mais à ma façon. C’est pour cela que j’ai petit à petit créé la fiche de poste qui me faisait rêver. Au début, c’était presque un jeu, puis c’est devenu bien réel. Il y a un an, j’ai sauté le pas : j’ai signé une rupture conventionnelle avec mon boss et j’ai débuté en tant que freelance. Mon objectif : inventer mon propre métier, en accord avec mes valeurs, mes compétences et mes qualités. Qui sait, ce nouveau poste inspirera peut-être d’autres personnes ?”

 

Quelque soit la raison pour laquelle on choisit d’être freelance, on ne le regrette jamais !

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